dimanche 22 novembre 2009

Pas d'avion sur le Pentagone ?



Certains mettent en doute la thèse de l'avion écrasé sur le Pentagone, et d'autres ont été jusqu'à affirmer qu'il s'agissait un missile (n'est-ce-pas Bigard ???), parce qu'ils ne voient qu'un petit trou de 5 m au premier étage de la façade :


Photo du trou de 5 m et du jet d'eau masquant le rez-de-chaussée


Pourquoi ignorent-ils les dégâts observables sur une largeur de 30 m au rez-de-chaussée ?


Assemblage de plusieurs photographies permettant de visualiser l'étendue des dégâts
Source

La thèse de l'avion est corroborée par la chute de 5 lampadaires (emplacements marqués par les points jaunes ci-dessous). On imagine mal un supposé "missile" slalomer au droit de ces 5 lampadaires :


Source


La thèse de l'avion est aussi corroborée par les débris retrouvés dans les décombres (en plus de l'identification des corps par les tests ADN) :



A propos des pilotes kamikazes :
    Certains se demandent aussi comment des individus "issus des grottes d'Afghanistan" [sic] ont pu avoir une visée aussi précise sur les Twin-Towers et surtout sur le Pentagone. Mais les parcours des pilotes kamikazes sont loin d'être ceux d'"hommes des cavernes" : voir sur Wikipedia Mohamed Atta, Ziad Jarrah, Marwan al-Shehhi et Hani Hanjour.

    Les pirates en avaient-ils la capacité ? Non, selon l'association Pilot for Truth.

    Toutefois, tous les pirates de l'air avaient obtenu leur licence de pilote aux Etats-Unis. Trois d’entre eux (Mohamed Atta, Marwan al-Shehhi et Hani Hanjour) avaient même une licence de pilote commercial. Le quatrième, Ziad Jarrah, avait étudié l’ingénierie aéronautique et le design d'aéronefs à l'université de Hambourg.

    Lors des détournements, les Boeing étaient équipés d'un navigateur GPS leur indiquant en permanence leur position exacte. Le ciel étant très dégagé, l’approche finale à vue, à basse altitude, fût très simple vers les tours WTC 1 et 2.

A propos d'Hani Hanjour :
    Dans le cas du Pentagone, Hanjour était le pilote le plus expérimenté pour l'objectif le plus délicat à repérer et à atteindre. Avant l'approche finale, il a effectué un virage en boucle de 330°, sur une distance de 10 km, pendant plus de deux minutes et demi, et à une vitesse maximale de 540 km/h : une manoeuvre prétendument "impossible" avec un Boeing 757, selon le film Zero. Pas si impossible en fait, bien que n’étant pas dans la norme de pilotage "douce" qui est utilisée pour ne pas rendre les passagers malades. Mais les pirates de l'air n'avaient bien sûr que faire du bien-être des passagers.

    Un mois avant les attentats, Hani Hanjour s'est rendu à l'aérodrome de Freeway à Bowie (Maryland), afin de louer un petit avion. Mais à l'issue de son test, il s'est vu refuser la location, car il éprouvait des difficultés à faire atterrir en toute sécurité un simple Cessna 172. Marcel Bernard, instructeur en chef de l'aérodrome, se souvient : "Oui, il avait déjà une licence de pilote. Il en avait déjà obtenu une dans une école en Arizona. Je ne me souviens plus du nom de l'école. Il avait déjà les certificats en main et de temps en temps il arrive que des pilotes viennent nous voir mais pas pour des cours de pilotage, ils veulent tout simplement louer nos appareils. C'était le cas pour Hani, il voulait juste être "vérifié" comme on dit ici, afin de pouvoir louer notre appareil. Et notre assurance requiert qu'il vole avec un de nos instructeurs pour évaluer son aptitude à louer un avion. C'est de cette manière qu'il procéda. Et le consensus était, il était très silencieux, sa compétence au pilotage était moyenne voire au-dessous la moyenne. Son anglais était très pauvre. C'est à peu près la meilleure description de son comportement que je peux vous donner. A cette époque, il était très ordinaire pour moi." (source : Loose Change 2).

    Mais Marcel Bernard a aussi ajouté qu'il "ne fait aucun doute que, une fois [l’avion détourné] décollé, il aurait été en mesure de diriger l'avion vers un bâtiment et le frapper" (Tracing Trail Of Hijackers, par Thomas Frank. Newsday.com, 23 septembre 2001).

    Voir aussi :

4 commentaires:

  1. Que tissue de connerie votre analyse vous n'êtes même pas ingénieur
    je connais personnellement des ingénieurs en aéronautique qui m'ont confirmé que le vol 77 n'avait pas percuté le pentagone
    ce site n'est qu'une propagande minable
    les passagers du vol 77 sont mort mais pas au pentagone c'est un fait

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  2. Ce ne sont pas les photos originales du pentagone : il s'agit d'un trucage photographique. Sur les clichés originaux, il n'y a qu'un impact central qui n'aurait pu être laissé que par un missile ou une bombe, car un avion comme celui-ci aurait laissé deux impacts au niveau des réacteurs. Et puis prendre comme source Wikipedia pour des sujets aussi sensibles, ce n'est pas très professionnel de votre part...

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  3. si tu connais des ingenieurs bas ils sont dans le champs , , tu mexpliquera la jante de roue , le train d atterissage dans le pentagone , pourquoi le generateur a un troue enorme et a ete deplacé , pourquoi des lampadaire sont tombé sur la route si cest pas un avion , vous regadez trop de film mon cher anonyme

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  4. Deux petits points qui laissent à désirer sur vos démonstrations :
    1- la simulation du vol en cabine ne permet pas de restituer la force centrifuge ressentie par le pilote ni l'effet de sol
    2- sur les vidéos d'avions volants à très basse altitude qui semblent confirmer la possibilité de voler si près du sol, il manque un paramètre essentiel : à quelle vitesse volait ces avions à ce moment précis ??? à mon avis surement pas à plus de 800km/h ...

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